Un petit garçon de 9 ans oublie qu’il est en vacances, la suite fait froid dans le dos

Publié le 17 septembre 2025 par: Être Heureux #etrehrx

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L’histoire de Thomas Pearce, 9 ans, est celle d’une vie bouleversée en quelques mois : des signes apparemment bénins, un diagnostic brutal et une issue tragique. Son parcours met en lumière le manque de moyens consacrés à la recherche sur les tumeurs cérébrales pédiatriques.

En février 2024, Thomas commence à montrer des troubles légers mais inhabituels : il cherche ses mots, ses phrases deviennent hésitantes, et de petits tremblements apparaissent dans sa main. Sa mère Louise croit d’abord à une fatigue ou un simple stress. Même le médecin de famille conseille d’attendre, estimant que rien ne semble urgent.

Une dégradation rapide et des pertes de mémoire

Au fil des semaines, les symptômes s’aggravent. Thomas oublie qu’il est en vacances, ne se souvient plus comment nager, et peine à retrouver ses repères quotidiens. Il développe une vision double et perd la mémoire de gestes simples. Louise comprend alors que ce n’est pas une anxiété passagère. Elle décide de l’emmener d’urgence à l’hôpital, convaincue qu’une pathologie grave est en cause.

Le diagnostic tombe : un gliome agressif

Un scanner révèle une masse inquiétante dans le cerveau. Transféré à Southampton, Thomas subit une biopsie : le verdict est sans appel — gliome de haut grade, une tumeur cérébrale agressive et rare chez l’enfant. La famille entame une course contre-la-montre : radiothérapie, chimiothérapie, traitements expérimentaux… mais aucun protocole ne parvient à freiner la progression du cancer.

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Un combat perdu en neuf mois

Le 16 novembre 2024, Thomas s’éteint chez lui, entouré de ses parents Louise et Gary, à peine neuf mois après les premiers symptômes. Son décès laisse ses proches dans un profond désarroi, mais aussi dans une volonté de témoigner. Louise dénonce un système de recherche sous-financé : « Ce n’est pas la maladie qui a tué mon fils, mais l’absence de moyens pour la soigner. »

Un appel à la mobilisation pour la recherche pédiatrique

Le témoignage de la famille Pearce souligne l’urgence de financer la recherche sur les gliomes pédiatriques, parmi les cancers les plus mortels chez l’enfant. Leur message rappelle que des signes anodins ne doivent pas être minimisés, et que des progrès médicaux restent possibles si la communauté scientifique reçoit le soutien nécessaire.
Pour de nombreux parents et associations, l’histoire de Thomas est un avertissement : le temps, les moyens et la vigilance peuvent sauver des vies.

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